En semaine de 13h30 à 16h30
Le week-end de 14h à 17h
Vernissage le 04/02/2024 à 15h
Trois artistes – Trois univers. Ce qui les relie ? La nature. Mais quelle nature? Celle du vivant, des plantes, des arbres, des gens, … Ils vous proposent un voyage dans « Les Natures » où tout éclot et s’équilibre au détour des émotions.
Marylène Daussin : « J’aime observer la nature et la dessiner, puis déconstruire et reconstruire le dessin obtenu afin de le faire mien. Je m’imprègne des lignes, des surfaces, des matières et me laisse guider vers un autre paysage. Réalisés au graphite, mes dessins-peintures m’offrent une forme de méditation, d’introspection. Je voyage dans ma nature intérieure et essaie d’y trouver un équilibre. »

Manon Bouvry : « Ce travail plastique provient d’un amour profond de la nature, de ses évocations et de ce qu’elle peut donner à entendre et voir. Retranscrire tous ces sentiments passe par une mise en question permanente de ce qu’elle est, de ce qu’elle dégage. Capter la réalité et la spiritualité de certains instants touchants est primordial. Cela conduit mon travail à une constante évolution. Cette recherche plastique permet de se plonger dans un état de contemplation, de sérénité et d’introspection, une communion profonde avec la nature. Un émerveillement quotidien d’une lumière, d’une sapinière, de couleurs, de sons, de brumes, … permet un enrichissement profond et une quiétude conduisant à la création. L’émerveillement passe surtout par l’émotion. »

Egon Etienne : « Je travaille la céramique depuis l’âge de 10 ans. Mon univers est inspiré des surréalistes et du cinéma de science-fiction. Mes sujets sont variés : paysages, vaisseaux, cités futuristes, … Ils oscillent constamment entre douceur et tourment, l’un ne pouvant se passer de l’autre. Je m’imprègne consciemment et inconsciemment du monde qui m’entoure. Mes projets naissent souvent d’une image qui me vient à l’esprit. J’aime le travail de l’argile parce qu’il permet une infinité de textures et permet d’aller dans le détail. C’est une matière charnelle au toucher. Elle peut, selon l’envie, être biologique ou au contraire très minérale ; ce qui correspond à mon style de travail. »
